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Atelier sur l’approche de l’ADN environnemental à l’UNA : des experts au chevet de la biodiversité du fleuve Bandama

Atelier sur l’approche de l’ADN environnemental à l’UNA : des experts au chevet de la biodiversité du fleuve Bandama

Comment préserver la biodiversité du Fleuve Bandama, en Côte d’Ivoire ? C’est pour répondre à cette préoccupation majeure qu’un atelier s’est ouvert, le jeudi 18 mars 2021, à l’Université NANGUI ABROGOUA, sous la présidence du Prof. TANO Yao, Président de cette institution académique.
 

Publié - 18/03/2021 / (Source:sce UNA) /  Partagez:

Comment préserver la biodiversité du Fleuve Bandama, en Côte d’Ivoire ? C’est pour répondre à cette préoccupation majeure qu’un atelier s’est ouvert, le jeudi 18 mars 2021, à l’Université NANGUI ABROGOUA, sous la présidence du Prof. TANO Yao, Président de cette institution académique.

« Utilisation de l’ADN environnemental comme outil d’aide à la conservation de la biodiversité des eaux douces de Côte d’Ivoire : cas du fleuve Bandama » tel est le thème de cet atelier qui a réuni des spécialistes en écologie aquatique, les Directeurs d’UFR, des enseignants-chercheurs, les responsables de Centres et Instituts de recherche, les acteurs de la pêche et leurs partenaires autour de cette problématique. Il s’est agi pour les experts de s’approprier cette méthode d’évaluation passive de la biodiversité et surtout de dégager des pistes de réflexion en vue de l’amélioration des connaissances de la biodiversité du fleuve Bandama. Un fleuve connu pour abriter des espèces menacées inscrites sur la liste rouge de l’Union Internationale de la Conservation de la Nature (IUCN).

Il y a un besoin urgent de réagir à cette crise de la biodiversité aquatique qui touche également ce fleuve important de la Côte d’Ivoire. Le Prof. TANO Yao, Président de l’Université NANGUI ABROGOUA s’est donc réjoui de la tenue de cet atelier dans son institution avant de remercier l’Union Internationale de la Conservation de la Nature (IUCN), le Fonds de partenariat pour les écosystèmes critiques (CEPF), la Compagnie Nature Metrics (UK) et tous les autres partenaires grâce à qui le projet CEPF est possible aujourd’hui. « L’UNA se félicite de cette nouvelle approche axée sur l’ADN environnemental qui permet d’inventorier toutes les espèces, mêmes les plus rares… Ce projet permet aussi de renforcer les capacités techniques par l’équipement du Laboratoire d’Environnement et de Biologie Aquatique (LEBA) en matériels d’extraction d’ADN. » a-t-il dit tout en invitant les enseignants-chercheurs de son Université à se familiariser avec cette nouvelle approche, innovante et efficace qui leur permettra d’améliorer leurs connaissances sur la biodiversité des eaux douces de Côte d’Ivoire.

Bien avant l’allocution du Président de l’UNA, le Prof. Ouattara Allassane, Président du Comité d’organisation de cet atelier, a dit quelques mots de bienvenue à tous les participants.

 

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